Je fais mon bout de chemin avec gaieté
Comme un bon noiséen
Je respire la liberté
Le vent fort et glacial de Romainville
Tire sur tout ce qui bouge
Et ponge
La chaleur restante, issue de Bargny-Ville
Les nuits ternes
A l’odeur de framboise
Ne permettent pas que les gens reboisent
Leurs liens paternes
L’apathie de ce froid
Qui au lieu de consolider nos attaches
Y installe un cheval de Troie
Et détruit la chaleur qui, par mégarde, s’y attache
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